lundi 14 mars 2011

I - Mes tortionnaires : des fonctionnaires, dont une trentaine de magistrats. Outreau dépassé !


1er groupe : des magistrats 

Maintenant, dressons le portrait-type de mes agresseurs. Les plus nombreux, ce furent d'abord des magistrats, travaillant en bandes organisées avec leurs commanditaires, leurs relais et leurs complices :
1.    Présidente de la cour d’appel sociale de Rennes « dépressive et trotskiste » (1998)
2.    Juge Vercelletto (1999)
3.    Liquidateur Dolley (1999)
4.    Tribunal administratif contre le fisc (1999)
5.    Juge La Tolade (1999)
6.    Procureur de la République Calut (1999)
7.    Philippe Bothorel, Alain Poumarède et Rosine Nivelle, juges d’appel Rennes (2001)
8.    Juge Petit (2001)
9.    Les 3 Juges X  de la cour d’appel de Rennes sur permis blanc (2002)
10. Juge Catherine Matrat (2003)
11. Tribunal Administratif d’appel (2003)
12. Cour de cassation/avocat Peignot contre l’interdiction de gérer et le faux dossier (2004)
13. Monique Boivin, Rosine Nivelle et Jean-Malo Bohuon  (2005)
14. Juge Véronique Pavageau (2005)
15. Juge Daniel Castagné 2005
16. Procureur de la République (2005 et 2 fois en 2007)
17. Yann Villate, bâtonnier (2006)
18. Juge Bernard Sauvaget (2006)
19. Juges Jean-Luc Moignard, Brigitte Vannier et Philippe Segard (2006)
20. Juge d’appel Beuzit (2007)
21. Juge de cassation Peyrat (2007)
22. Le Ministère de la Justice (qui refuse d’enquêter sur les magistrats corrompus)
23. Juges de la cour d'appel de Poitiers : Madame Colette Martin-Pigalle (Président), Mme Catherine Kamianecki et M. André Chapelle. (décembre 2010)
24. M. C. Bury, juge au TGI de la Roche sur Yon 
Cela donne 24 magistrats corrompus minimum. Outreau est dépassé ! En effet, Outreau, qui a fait tant de bruit, est une erreur judiciaire impliquant une vingtaine de magistrats coupables par leur laxisme de non-assistance à personnes en danger. Dans mon cas, il ne s’agit pas d’erreur. Les 24 magistrats se sont volontairement mis hors la loi, ils m’ont poursuivi sans relâche en bande organisée pendant dix ans et ils m'ont condamné à tort et au maximum possible, jusqu’à ce que ma société ait enfin rendu l'âme et que mon expulsion m'écarte de la capitale de l'Ouest, Nantes. Et encore, 24 est un minimum car, en ce qui concerne  "le" procureur de la république de Nantes, il y a en fait une vingtaine (dixit le procureur Besson), ce qui assure l'anonymat de chacun d'eux (re-dixit le procureur Besson). Cet anonymat est soigneusement entretenu dans leurs courriers par l'absence de signataire et des signatures illisibles. Chaque fois qu'un procureur me fait une vacherie, ce n'est peut-être pas le même ! Mais comment savoir ?
Dans ce groupe, il faut également inclure :
·         Le liquidateur Dolley, qui est professionnellement aux ordres des juges du tribunal de commerce, qui le protègent.
·         le greffier du tribunal de commerce de Nantes Barbin, un fonctionnaire qui ne voit rien d'anormal dans son tribunal…
·         Deux avocats : Odile Chaigneau (Nantes) et Bertrand Maillard (Rennes) parce que, comme les liquidateurs, les carrières des avocats dépendent du bon vouloir de leurs vrais patrons : les juges, ceux qui leur donnent raison ou tort dans chaque affaire selon leur bon vouloir. Certains en sont les laquais actifs et consentants (Maillard), d'autres sont rétifs mais n'ont pas le choix : Me Raiffaud, celui qui reçoit du bâtonnier de Nantes un courrier qui l’informe honnêtement que si, tout à son ardeur de défendre ses clients et de faire valoir la justice, il était amené à s’en prendre à des liquidateurs ou à tout autre auxiliaire de justice, cela déplairait aux juges de Nantes qui lui feraient perdre ses procès et donc sa clientèle.
·         des policiers, complices de certains juges : voyez cette plainte de Bruno Picquet, commissaire de police, pour « outrage » à magistrat dont le Juge Petit se fait l'allié et l'avocat en le disposant de présence et plaidant pour lui ; voyez le faux témoignage de flic organisé par Mme le Capitaine Potarin ; voyez mon retrait de permis pour un an décidé par deux juges successifs dont la fameuse La Tolade ; voyez les rapports de police à l’avantage de Martins dans le cadre de son attaque au tournevis, qui servent à ma condamnation à Nantes puis en appel à Rennes.

2ème groupe : des universitaires 

Le 2ème groupe, hyperactif pour empêcher mon entreprise de décoller, ce furent les universitaires.  Ils ont usé de leur réseau pour me porter tort mais n'ont jamais été jusqu'à tenter de me poursuivre en justice. Heureusement pour moi, avec l'affection que me portent les juges, ils auraient gagné... Il faut dire qu'ils n'avaient pas besoin d'aller jusque là pour couler mon entreprise. Ils avaient contre moi deux armes puissantes : la fermeture nationale des robinets des subventions à la recherche et à l'innovation, le refus d'accorder à mes travaux la reconnaissance officielle de mon pays qui m'aurait permis de trouver des partenaires...
Rappelons les noms de ceux qui se sont dressés contre moi : 
  • La responsable du labo IA de l’École des Mines de Nantes, Mme Desmines
  • le professeur IA de l’Ireste Jacques Philoupé
  • les universitaires organisateurs du colloque IA d’Avignon
  • l’Anvar de Nantes
  • l’ « expert » IA Benoît Faller
  • l’AFIA (Association Française de l’Intelligence Artificielle)
  • la Technopole de Nantes
  • le jury de la revue IA
  • le professeur spécialiste de l’IA Serge Boisse
  • le site web Wikipedia
  • le site web commentcamarche

3ème groupe : le fisc et diverses administrations 

Le 3ème groupe, ce sont de grosses administrations, qui n'ont besoin de personne pour porter tort aux entreprises. Certaines détiennent le pouvoir de prendre de l'argent de force aux entreprises (le fisc), d'autres de ne pas leur accorder de subventions (Conseil Régional, Ville de Nantes, Conseil Général), d'autres d'instrumentaliser la police (Préfecture, Ville de Nantes, Conseil Général) pour porter tort aux ennemis des copains.
Ce sont :
1.    Le fisc nantais, qui a par ailleurs visiblement le tribunal administratif à sa botte
2.    Le Conseil Régional des Pays de la Loire (siège à Nantes)
3.    La Ville de Nantes (voir mon expulsion et ses refus répétés de soutenir ma société lors des concours Atlanticiels)
4.    La Préfecture (mon expulsion)
5.    Le Conseil Général (assistante sociale lors de mon expulsion, et Atlanticiels)
6.    La police, mais pas dans son ensemble, les cas d’agression sont isolés
7.    D’autres administrations (mon expulsion)

4ème groupe : quelques acteurs « privés » très proches du public 

Restent seulement quelques acteurs relevant a priori de la sphère privée, mais visiblement très associés à certaines administrations ou au monde des fonctionnaires puisque, dans la majorité des cas, ils parviennent à instrumentaliser des magistrats pour me nuire :
1.    Des banques, qui sont d'ex-administrations par leurs nationalisations passées. Elles sont fréquemment complices du tribunal de commerce et ont des accointances avec les juges. Dans mon cas, c'est la Société Générale de Nantes, qui trouve sans peine des juges à sa solde à Nantes et à Rennes. Dans le cas de Christian Beugin, c'est le Crédit Lyonnais et la BNP, qui coulent sa société pour lui prendre ses avions au profit d’un concurrent (Air Toulouse, voir 1ère partie 2002). Cela sans qu’aucun tribunal à Nantes et Rennes ne trouve rien à y redire en dépit des actions médiatiques percutantes de Christian Beugin et de l’Association des Victimes du Tribunal de Commerce de Nantes.
2.    Manuel Abrantes Martins (professionnel du bâtiment lié à des magistrats)
3.    Cofidis (banque, entente avec le fisc) 
En ce qui concerne la Société Générale, à la réputation sulfureuse, il ne faut pas oublier que, comme toutes les banques, elle était nationalisée il n’y a pas longtemps, donc sous tutelle de l’Etat grâce à Mitterrand, le plus corrompu de tous les présidents que nous ayons jamais eus, qui y a mis des hommes à lui. Bien que cette tutelle ait disparu, l'Etat continue à les contrôler directement par ses soutiens financiers : la société Générale a ainsibénéficié de 1,7 milliards pris dans la poche des contribuables, pour "renforcer ses fonds propres" ! Bien que les banques soient redevenues théoriquement "privées", certains de ses responsables sont restés et/ou sont des pions de l’État, donc de nos fonctionnaires.  Il est clair que la justice n'entre pas dans ses établissements et que des mauvaises habitudes ont été prises… Tant que l’État sera là pour  "contrôler" leur bon fonctionnement, c’est le contraire qui aura lieu et la corruption y règnera avec son lot de scandales. Jerôme Kerviel,SgamJean-Pierre MustierBanque de Franceles stocks options que se versent ses dirigeants en pleine crise et après avoir causé la plus grosse perte bancaire de l'histoire… tout ça pour la seule Société Générale ! 

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